dimanche 12 janvier 2014

France: faire la guerre à un antisémitisme par un racisme inversé?


Dieudonné : "Je ne jouerai plus le spectacle 'Le Mur'"

Dieudonné: "Dans un État de droit, il faut se conformer à la loi"


Il faut maintenant espérer après cette déclaration de l'humoriste controversé français, que ses détracteurs patentés au sein du gouvernement notamment, se consacreront réellement à ce pourquoi ils ont été élus: sortir la France du marasme économique.

À moins de considérer que la noble lutte sans merci à mener contre l'antisémitisme en France doit nécessairement passer par une chasse à ce "diable noir", dont certains se plaisent à rappeler le patronyme camerounais "M' BALA M' BALA" ...comme pour d'une part décréter que ce monsieur ne saurait plus se revendiquer «humoriste ou amuseur public», puis d'autre part marquer l'aversion officielle qu'inspire son origine ethnique (africaine, et singulièrement bantoue du Cameroun).

Les concernés l'auront parfaitement compris...

C'est l'occasion de rappeler qu'en République la lutte légitime et sans concession à mener contre l'antisémitisme ne peut se faire par un racisme inversé; bien enrobé dans la défense de l'ordre public, et depuis Jeudi 09 Janvier 2014 dans la dignité des personnes; y compris à l'encontre d'un personnage présenté par certains comme le plus dangereux qu'est connue la France depuis sa libération de l'occupation nazie en 1945!

Dans une démocratie Tous les Racismes doivent être combattus avec la même détermination et neutralité des autorités de l'État.

Il est grand temps que l'apaisement des esprits revienne!

Joël Didier Engo


On n'est pas couché : Nicolas Bedos s'en prend violemment à Dieudonné
VIDÉOS. Quenelles-merguez: Nicolas Bedos s'adresse à Dieudonné dans une chronique sur France 2

 http://www.huffingtonpost.fr/2014/01/12/nicolas-bedos-chronique-dieudonne_n_4584007.html?utm_hp_ref=fb&src=sp&comm_ref=false

Cela confine désormais à "faire la guerre à un antisémitisme par un racisme inversé"...

Et ça ne fera certainement pas rire ceux (noirs, arabes, musulmans et jeunes des banlieues...) qui sont stigmatisés en raison de leurs origines sociale
s et ethinques dans cette chronique voulue très "brillante" de Nicolas Bedos, au nom des mêmes principes avec lesquels Dieudonne MMMM'BALA MMMMMMM'BALA...a été empêché de se produire dans les salles de spectable et les studios de télévison de France.

  

Hélas!

En effet "faire croire à la France qui regarde la télé tard que la banlieue n'est truffée que d’antisémites incultes, qui n’ont que les complots sur les Juifs pour horizons", sur un plateau de la télévision publique française (France 2), protégé évidemment par deux agents de sécurité "nègres" (parce que les clichés racistes doivent évidemment demeurés intacts dans notre belle république égalitaire!)....Est-ce bien cela l'humour "autorisé" dans cette république liberticide, dont le ministre de l'intérieur voudrait maintenir un autre humoriste controversé sous "une surveillance permanente"????

Finalement l'on entérinera sans nécessairement le vouloir que ce sont peut-être la couleur de peau et le multirécidivisme biologique du second qui justifient sa mise sous surveillance, lui empêchant de faire le même humour de mauvais goût sur un autre crime contre l'humanité; là où le rejeton de la bien-pensance s'en délecte avec joie, sans jamais être inquiété pour le respect de la dignité de toutes celles et tous ceux à qui il porte atteinte.

On finit par en avoir la nausée!


Joël Didier Engo

Sur le même sujet: 

"Dieudonné, ange ou démon, la République y a perdu" par Guy Samuel NYOUMSI Président de Solidarité Africaine de France
gsnyoumsi@gmail.com


Affaire Dieudonné: le CRESPOL contre la démission de la pensée critique, par
Thierry AMOUGOU,
Fondateur et animateur du CRESPOL
 

http://cameroon-info.net/stories/0,56865,@,affaire-dieudonne-le-crespol-contre-la-demission-de-la-pensee-critique.html

"Alors que nous étions habitués au seul prénom Dieudonné dans les médias français depuis des années, grande a été notre surprise de remarquer le matraquage du nom d’origine camerounaise Mbala Mbala dans cette affaire comme si la France voulait renvoyer son citoyen à ses références camerounaises, mieux africaines."

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