L'antisémitisme, le racisme, la xénophobie, et même l'homophobie
sont des fléaux persistants dans les différentes classes sociales
françaises.
Ils doivent être dénoncés puis combattus avec la
même fermeté sans la moindre indulgence, en veillant de ne pas donner ou
laisser l'impression (vraie ou fausse) d'une instrumentalisation
politique sur fond de mémoire sélective
et d'acharnement opportun contre un mouvement de revendication sociale
que certains veulent acculer à la "faute" impardonnable en le dépeignant
comme entièrement antisémite et raciste.
C'est faux et archi-faux
Les Français dans leur ensemble ne sont pas plus antisémites, racistes, xénophobes, ou homophobes que d'autres peuples du monde....
L'indignation et la condamnation de ces fléaux doivent simplement être d'égale intensité et fermeté, quels que soient les victimes, les auteurs, les milieux, et même les communautés d'intérêts.
JDE
Les Français dans leur ensemble ne sont pas plus antisémites, racistes, xénophobes, ou homophobes que d'autres peuples du monde....
L'indignation et la condamnation de ces fléaux doivent simplement être d'égale intensité et fermeté, quels que soient les victimes, les auteurs, les milieux, et même les communautés d'intérêts.
JDE
Antisémitisme, racisme, propos haineux... la législation en vigueur en France
Le
19 février 2019, environ 80 tombes du cimetière juif de la ville
alsacienne de Quatzenheim, au nord-ouest de Strasbourg (Est), sont
découvertes profanées.REUTERS/Vincent Kessler
Des
mesures concrètes pour lutter contre l'antisémitisme. C'est ce que vont
demander ce mercredi soir des représentants de la communauté juive à
Emmanuel Macron, lors du dîner du Crif, le Conseil représentatif des
institutions juives, où le président sera présent. Mardi soir, des
milliers de personnes se sont rassemblés à Paris et dans toute la France
pour dénoncer les actes antisémites. Ils sont en recrudescence ces
derniers jours, cimetière juif profané dans l'est de la France, tags sur
un portrait de Simone Veil… Retour sur la législation en France
concernant les actes antisémites.
La
loi est très claire et elle est très stricte. Et même si
l'antisémitisme se distingue du racisme, la loi ne fait pas la
différence entre ces deux termes juridiquement donc, il s'agit d'une
seule et même infraction.
Quand une personne tient un propos ou commet un acte à caractère raciste, le Code pénal précise que ces faits sont passibles d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende. Cette peine a d'ailleurs été durcie il y a deux ans.
Tous ces faits se sont déroulés dans la rue, donc en public, mais les sanctions prescrites par le Code pénal s'appliquent aussi lorsque des injures sont tenues sur internet et on en voit de plus en plus qui pullulent avec les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter.
Il faut le rappeler, tous les propos tenus sur internet sont publics. Donc si certains tweetent ou publient sur Facebook des messages à caractère raciste ou antisémite, ils tombent aussi sous le coup de la loi. La loi qui impose d'ailleurs aux sites internet la mise en place de systèmes de contrôles pour lutter contre ces infractions.
Le Premier ministre Edouard Philippe a annoncé mardi qu'il souhaitait légiférer, si possible avant l'été, pour endiguer le « foisonnement des paroles haineuses, antisémites ou racistes, sur les réseaux sociaux ».
Le député Les Républicains, Eric Ciotti, a de son côté déposé ce mercredi une proposition de loi pour mieux lutter contre l'explosion des actes antisémites.
► (Ré) écouter : Quelles mesures contre l'antisémitisme ? (Reportage France)
Quand une personne tient un propos ou commet un acte à caractère raciste, le Code pénal précise que ces faits sont passibles d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende. Cette peine a d'ailleurs été durcie il y a deux ans.
Tous ces faits se sont déroulés dans la rue, donc en public, mais les sanctions prescrites par le Code pénal s'appliquent aussi lorsque des injures sont tenues sur internet et on en voit de plus en plus qui pullulent avec les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter.
Il faut le rappeler, tous les propos tenus sur internet sont publics. Donc si certains tweetent ou publient sur Facebook des messages à caractère raciste ou antisémite, ils tombent aussi sous le coup de la loi. La loi qui impose d'ailleurs aux sites internet la mise en place de systèmes de contrôles pour lutter contre ces infractions.
Le Premier ministre Edouard Philippe a annoncé mardi qu'il souhaitait légiférer, si possible avant l'été, pour endiguer le « foisonnement des paroles haineuses, antisémites ou racistes, sur les réseaux sociaux ».
Le député Les Républicains, Eric Ciotti, a de son côté déposé ce mercredi une proposition de loi pour mieux lutter contre l'explosion des actes antisémites.
► (Ré) écouter : Quelles mesures contre l'antisémitisme ? (Reportage France)
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